Collection Lesbiennes. LEnquête (2/2)
Je suis jeune journaliste dans un quotidien parisien, je vis avec Jésus chroniqueur sportif au plus grand journal sportif de France, je lai connue lors de ma formation, en plus de mon futur métier, il ma formé à devenir une jeune femme aimante.
Je peux dire quavec lui ma vie sexuelle est entière, il veut, je veux, nous voulons et nous faisons, à aucun moment lun de nous prend le pas sur lautre.
Certes, souvent il propose et je le suis, sinon comment aurais-je appris à me faire prendre en levrette, terme quil ma expliqué.
Javais entendu parler de fellation, cest moi qui lui ai demandé, mais, cest lui qui ma montré, si je me retourne sur notre vie, je me rends compte que jai été son jouet.
Alors quand le ventre de Mélodie vient en contact du mien me chamboulant de lintérieur, je comprends quentre deux femmes des choses pouvais se faire.
Nous nous sommes pris la bouche dun commun accord et jai su que javais envie delle.
- On va chez toi, on va chez moi !
Chez moi, tu as vu ma mère est partie avec la grande rousse, ça faisait longtemps que cette salope voulait se la faire, mais elle savait quavec cette grande pute, la souffrance était de mise, elle aime le sadisme.
Maman est seule comme moi depuis que sa copine est partie avec une autre dans le Bordelais.
Elle a picoré un temps, dès le départ, la rousse lui avait proposé de devenir son amie, elle savait ce que cela voulait dire.
Tu as vu ce soir, elle a craqué, jignore si elles sont parties chez nous ou chez lautre salope, comprends que je veux éviter de me trouver en tête à tête avec elle demain matin.
Lavenir me dira chez qui elle compte sinstaller, si sait chez elle, je récupérerais ma chambre.
Chez toi ?
- Je dois tavouer une chose que je tai cachée, je vis avec un garçon, jusquà ce jour.
Je nai connu que cet homme, jétais persuadée être comblée sexuellement, quand nos deux bassins sont venus en contact, jai senti que quelque chose me manquait et sans aucune hésitation, nous nous sommes embrassés.
Nous nous séparons et revenons à notre table, le charme semblait être rompu.
- Tu es une putain de suceuse de bite, je comprends pourquoi tu as employé le mot gouine, pour vous, les filles aimant les filles sont des filles perverties.
Jai connu cela avec mon père, quand il a su que maman comme moi aimaient les filles, il a essayé de me faire connaître des garçons, maman ma aidé à résister.
Cest à ce moment quelle sest mise avec Judith qui la trahie, pour partir à Bordeaux.
Hier, maman en rentrant ma dit quelle avait rencontré une jeune femme qui ressemblait comme deux gouttes deau à la femme que je lui décris depuis des mois, je tavais vu dans un rêve.
Me disant cela, elle me prend la main que javais posée sur la table après avoir bu un coup, me rassurant sur ses intentions, le lien est loin dêtre coupé.
- Quand je tai vu, mon cur a fait un bon, jai immédiatement su que tu étais mon élue, dis-moi quelle est ta vie et pourquoi tu es là.
- Je vais te dire la vérité, je vis avec Jésus, ne rigole pas, cest son nom.
Je lui raconte ma vie avec mon copain, jémets seulement des réserves sur mon libre arbitre en matière de sexe, même si tous ce que nous faisons me plait.
- Si tu veux allons chez moi, mais tu me verras faire lamour avec lui autant que je le ferais avec toi, ce serait invivable, obligatoirement lun de vous deux sera frustré.
- Embrasse-moi, au moins ici, nous sommes libres de nous aimer, je suis à la rue tant que jignore qui de maman ou de la rousse a gagné le toit ou caché le sadisme de lautre.
- Merci de me donner une chance, viens, je vais prendre le risque, je sens trop le besoin de te serrer nue dans mes bras.
Jésus est à un match à Trois ce soir, ma maison est libre.
- Ta maison, il habite chez toi !
- Non, jaurais dû dire notre maison, nous avons signés le bail ensemble.
Nous quittons le bar, ma vie vient de prendre une drôle de tournure.
Je fais appeler un taxi qui nous dépose au bas de chez moi, tout au loin du chemin, nous nous tenons la main, je sens son sang passer dans mon sang.
Comme prévu, Jésus est absent, je le conduis directement dans notre chambre.
Jésus ma appris les plaisirs hétéros.
Mélodie mapprend les plaisirs lesbiens.
Elle me fait allonger, membrasse de la pointe de mes doigts de pieds à ma bouche, tournant sans le toucher à la hauteur de mon sexe.
Elle redescend et enfin sa langue touche mon clitoris.
Il sembrase, différemment du moment où Jésus le fait.
Là, cest plus doux, plus tendre, plus caressant, sa langue leffleure alors que mon homme se sert de la sienne comme il se sert de son pénis.
Je vois sa jambe passer au-dessus de moi et cest à mon tour de recevoir ses grandes lèvres sur ma bouche.
Jai déjà connu le goût de ma cyprine sur ma bouche quand je reprends mes fellations après que ma bite sorte de moi pour finir au fond de ma gorge.
Là, cest un autre goût, plus suave, plus divin.
Elle coule en moi, à mon tour en écartant ses lèvres vaginales.
Je fais à son clito ce quelle fait au mien, dire que si mon directeur ne mavait pas donné ce reportage, je me serais contenté des bites des hommes.
Nous avons un orgasme commun.
- Allons prendre un bain, tu verras nous avons une baignoire relaxante, les jets deau vont te remettre en forme avant le prochain chapitre de nos aventures lesbiennes.
En plus de lorgasme qui vient de nous submerger, jadore la grâce quelle a quand elle se déplace.
Jentre devant elle, elle me plaque une main aux fesses, je peux même dire une vraie claque.
- Mélodie, tu te prends pour la rousse, serais-tu aussi sado ?
- Si tu aimes, j'aime, une petite claque, cest loin de ce que doit subir maman.
La rousse, ce sont les martinets quelle emploie ainsi que de nombreux instruments de .
Depuis quelles ont quitté le bar, les seins de maman doivent sorner de piercing, cest sa spécialité, si tu veux nous ira la voir, elle a une boutique dans le marais.
- Si tu en mets, jen mettrais aussi, ce bain est divin, vient que je te frotte le dos.
Le dos et sa chatte ma main ségarent au fond de sa grotte.
- Dis-moi, je sens que ton sexe est ouvert aux quatre vents, as-tu déjà connu des bites en toi ?
- Quelle horreur, cest Brigitte celle qui ma initié qui ma défloré, si tu veux, tu peux me fister.
- Fister ?
- Il faut tout tapprendre, fister, cest entrer lintégralité de ta main dans mon vagin, fais-le, je suis très large.
Une fois de plus, je suis la nunuche de service, elle se relève, sa grotte est en bonne position.
Jentre un par un, mes doigts, jusquau cinquième, elle saffaisse sur ma main, elle est au fond delle.
Si je ne lavais pas vu et pas fait, je ne laurais jamais cru.
Cette jolie fille est empalée sur mon poing, je fais bouger ma main, elle jouit et je vois mes doigts déformer le devant de son ventre.
Ils font comme dans des films dhorreur ou des vers gargouilles dans le corps de sa victime.
Comme dans ces films, son ventre va-t-il éclater et mes doigts vont-ils sortir.
- Veux-tu que je te fasse pareil, je suis sûr dentrer entièrement en toi ?
- Plus tard, jai déjà appris à être une gouine, le reste viendra en son temps.
Je tai bien eu, je vois ton nez se plisser au mot de gouine, je voulais te faire marcher, lesbienne, ça te va mieux.
- Tu sais, il y a pire, brouteuse de chattes ou de paillassons, gougnottes, la pire pour moi, la gousse.
- Moi, le plus joli mot, cest amour, je taime.
- Je taime, cest les mots que tu as employés quand je tai quitté.
- Jésus, que fais-tu là, tu devais être à Trois !
- Un orage dantesque est tombé sur la ville, terrain impraticable, je suis rentrée pour trouver mon amour dans les bras dune jolie femme.
Jésus vient sasseoir sur le lit à côté de Mélodie qui se recroqueville comme si un serpent était entré dans notre lit.
- Cest joli tout ça, je peux toucher.
- Quelle horreur Véronique, protège-moi.
Mélodie se retourne comme si ce serpent était un crotale et lavait piqué.
- Mélodie, ce que je craignais arrive plus vite que prévu.
Il me faut choisir entre mon homme que jaime et toi que jaime aussi.
Il y a une solution et elle dépend de toi, si tu te donnes à Jésus, nous pourrions vivre ici en pleine harmonie.
Lappartement sera assez grand pour nous trois et connaissant Jésus, il est capable de satisfaire deux femmes.
- Tu me proposes un ménage à trois, dans mon rêve où je te voyais, derrière toi il y avait une silhouette floue, ce devait être Jésus.
- Tu feras cela doucement, jai peur, mais jai un coup de foudre pour Véronique et je ne veux pas la quitter.
- Jésus déshabille-toi, lentement pour que Mélodie shabitue à toi et à ton sexe.
Il le fait, elle souvre, elle se rallonge.
Cest moi qui le fais entrer à lintérieur dans la position du missionnaire.
Sa chatte supporte ma main, la bite de Jésus entre comme dans du beurre.
Je vois ma maîtresse entourer ses jambes autour des reins de notre amant.
Il y a trois mois que nous habitons ensemble.
Je suis la reine des brouteuses de chatte, en ce moment Mélodie est prise en levrette par Jésus qui lui claque les fesses.
Nous sommes allés chercher ses affaires, il y avait du bruit dans la chambre de sa maman, nous avons simplement entendu.
- Martyrise-moi.
Et la voix de la rousse, dire !
- Tu en veux ma vieille salope, tu vas en avoir.
Puis le bruit dun martinet zébrant certainement les fesses maternelles.
Mélodie a pris ses affaires à laisser un mot pour sa mère quelle la rappelle quand elle aura été libérée.
Mon article, avec laide de mes deux amours, Mélodie et Jésus, nous lavons écrit à six mains en allant chercher les caractéristiques de chacun des établissements sur Internet.
Jai touché une grosse prime, ce qui nous a permis dacheter un lit aussi long que large de 2 mètres.
4 mètres carrés pour nous ébattre comme des hétéros, des gouines et des amants.
Nous sommes les trois personnes les plus heureuses au monde.
Joubliais, Mélodie la première nous a annoncé que Josseline sa maman sera dans quelques mois grand-mère.
Cest moi le mois suivant qui leur ai donné la bonne nouvelle, le lit est grand, mais il nous faudra déménager.
5 se sera invivable surtout si à léchographie, Jésus a multiplié les s comme son illustre prédécesseur les petits pains.
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